Fort de ma mauvaise humeur, je fuis le gite à toute vitesse pour éviter le canadien ronfleur, ce qui me permet de voir de beaux paysages au lever du soleil : hélas, deux heures apres sur la route de Sisteron , il est déjà là...je le re- sème, et je le retrouve à Sisteron : je chante de restaurant et puis attaque vaillamment la dernière partie de cette journée , une des plus dures du circuit ( 31 km , 1000 m de denivellé descendant et 500 m montant) et j'arrive enfi au gite de Denise à Peipin qui me dit : vous allez être content, il y a un canadien !.
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